Le sucre est une substance de saveur douce, d'où le plaisir qui lui est associé. Une consommation multipliée par 100 en 100 ans
Dès la naissance, le bébé a une attirance vers le sucré et une aversion pour ce qui est amer et acide. Cette attirance naturelle a amené l’homme à rechercher dans la nature ce goût si particulier et agréable.
Produit exotique et rare, il est d'abord réservé aux apothicaires, ne devenant réellement un ingrédient culinaire qu'au XVIII ième siècle.
Pendant longtemps, on a donc sucré avec des fruits, du miel, du sirop d’érable… et du sucre mais toujours avec parcimonie. Ce dernier était une denrée plus rare qu’aujourd’hui.
Actuellement, nous avons une production de sucres en tout genre bien supérieure. Le sucre, comme le sel, est un conservateur et un exhausteur de goût. Les industriels l’ont bien compris. Ils ont étudié la palatabilité des aliments (le fait qu’ils soient appréciés ou non) et savent qu’il faut qu’ils soient gras, sucrés et salés.
Nous retrouvons donc du sucre dans tous les produits de l’industrie agro-alimentaire (dans les plats cuisinés, les sauces, les vinaigrettes, les sodas, les jus de fruits et même dans des blancs de poulet crus).
Notre consommation est passée d’environ 0,6 kg / hab / an , il y a un siècle, à 60 kg aujourd’hui avec une grosse évolution depuis l’après-guerre.
Beaucoup trop de sucres sont consommés, que notre corps ne peut gérer et qui entraînent de nombreuses pathologies : obésité, diabète, maladies cardio-vasculaires et même certains cancers.
Limitons les apports en sucre , revenons vers des aliments naturels !
Le 2018-08-24 par Veronique SEGRIA
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